L’Eau Forte s’inspire de La Révélation d’Arès qui est la transcription écrite par le témoin, Michel Potay appelé Frère Michel depuis, de deux messages venus du Ciel :
• le premier de la bouche de Jésus, ressuscité et transfiguré, du 15 janvier au 13 avril 1974. Quarante visites environ une nuit sur deux dans la maison où Frère Michel habitait avec sa famille à ce moment-là, appelée depuis La Maison de la Révélation. Ce premier message est nommé par le témoin L’Évangile donné à Arès, car il est dans la continuité de l’Évangile Palestinien donné il y a 2000 ans.
• le second du Créateur lui-même, manifesté sous forme d’un bâton de lumière à l’automne 1977 au cours de cinq nuits (les 2, 9, 19 octobre, 9 et 22 novembre 1977), dans une chapelle appelée par la suite La Maison de la Sainte Parole. C’est le Retour (Rév d’Arès i/1) de Dieu, silencieux depuis le prophète Mouhamad. Ce second message sera intitulé Le Livre, car le Créateur dit au témoin : Tu ouvres le bon Livre enfin (Rév d’Arès i/11).
La Révélation d’Arès est un appel du Créateur fait aux hommes de toutes origines, croyants ou incroyants, à retrouver leur vocation de faire le bien en installant en eux la vie spirituelle, c’est-à-dire aimer évangéliquement tous les hommes (tout homme est son prochain, son frère humain), pardonner, pacifier les situations, se libérer de tous préjugés et pouvoirs, retrouver ainsi l’intelligence du cœur (Rév d’Arès 23/4). Cet effort sur soi est appelé dans La Révélation d’Arès, la pénitence (Rév d’Arès 16/17, 28/25, 30/10, 36/4-19). Ce mot pénitence peut surprendre, parce que la religion et la culture lui ont donné le sens de remords et d’autopunition, mais La Révélation d’Arès lui donne un tout autre sens, constructif, plein d’espérance, de force, et même de joie et de fête, dit-elle, car le pénitent n’est pas le pécheur qui s’assied dans la poussière, qui se couvre d’un sac, mais l’homme qui cesse de pécher, même vêtu pour la fête, parfumé, chantant (Rév d’Arès 30/11). Ainsi, on comprend que la pénitence n’est rien d’autre que la décision individuelle, libre, joyeuse, de se changer en bien. Le bien accompli crée l’âme (Rév d’Arès 4/5-6-8, 16/15, 17/4, 20/4, 39/7) du pénitent et le sauve.
Le pénitent ou l’homme de bien est aussi appelé à chercher d’autres hommes capables d’installer la vertu dans leur cœur. Cette recherche est nommée, dans La Révélation d’Arès, la moisson (Rév d’Arès 4/12, 38/2). La moisson consiste donc à réveiller dans la population le concept actif de pénitence, de bonification intérieure : Réveille la pénitence en eux (Rév d’Arès 36/4). Des générations pénitentes changeront le monde en bien et le sauveront du mal après que l’Histoire de l’humanité ait montré une succession de pouvoirs religieux et politiques qui ont déspiritualisé l’homme et laissé trop de malheurs.
La Révélation d’Arès offre ainsi un nouveau contrat social (Rév d’Arès 28/7).
La Révélation d’Arès ne fonde pas une nouvelle religion, encore moins une secte. Au contraire, elle libère l’homme de tout système ou domination et le place, libre, en pleine conscience face à Dieu dans un choix personnel et volontaire de devenir l’homme du temps qui vient (Rév d’Arès 16/10) ou le héros (Rév d’Arès xxxv/4-5-10-12) que le Père attend pour installer le bonheur sur terre.
La Révélation d’Arès circule actuellement à plus de 330.000 exemplaires dans le monde et a été éditée depuis 1974 sous plusieurs formes :
• La première édition, celle de L’Évangile Donné à Arès seul, parue en 1974, est épuisée,
• Plusieurs éditions intégrales, parues en 1984, 1987, 1989,
• Une édition plus moderne et présentant de nouvelles annotations, format poche, parue en 2009, plusieurs fois rééditée,
• Des éditions bilingues français-anglais (1995) et français-allemand (2007).
Vous pouvez la commander en librairies ou chez l’éditeur : ADIRA.