Le Père nous prévient : il est temps que le monde soit sauvé, avant que ne pleuve le péché des péchés (38/2). Ce monde court à sa perte. Avec La Révélation d’Arès, l’heure du Renouveau a sonné : Tu vois le Retour (i/1). Je descends prendre racine au milieu de ta génération pour en être la Vigne (30/6). Ou encore : Par toi Je viens renvoyer l’Eau Vive (30/3). Il est urgent de réveiller nos consciences en installant dans ce monde la vie spirituelle, c’est-à-dire l’amour fraternel ou évangélique, le pardon des offenses, l’absence de préjugés.
Cet appel s’adresse à tous, car les hommes sont de cultures variées, mais chaque homme est un même et seul enfant du Père, car fait à son Image et Ressemblance (La Bible, Genèse 1/27).
Tous ceux auxquels tu porteras Mon Message sauront en dedans d’eux, dans leur poitrine où Je souffle, que Mon Messager est véridique (4/11). L’homme a une vocation spirituelle dont il s’est éloigné en choisissant la voie du péché. Il peut la retrouver s’il décide, de lui-même, en toute liberté, et avec mesure, de faire le bien. Tout homme sait Qui Je suis quand Je lui parle (1/9). Même un incroyant (ceux qui Me rejettent avant de Me connaître, 1/9) peut comprendre la Parole du Créateur.
Chacun, pour le prix d’un effort, dans sa vie quotidienne, peut contribuer au changement du monde en Bien (à la bonification du monde).
Le Créateur promet son Appui à celui qui entre en pénitence, c’est-à-dire qui fait cet effort de cesser d’être pécheur (30/10). Il n’abandonne aucun pécheur dans sa pénitence, tous Il les fortifie dans leur ascension (25/6). Ma Main couvre le frère qui va conscit (xxii/14).
L’homme qui s’efforce de faire le Bien retrouve l’intelligence. Nous n’avons que cette vie pour faire le Bien et construire notre âme pour nous sauver.
Ce n’est qu’une question de choix et de volonté : décider librement d’orienter sa vie vers le Bien et agir chaque jour, avec amour et intelligence du cœur, dans cette voie, avec patience, mesure, courage et constance. Ceci est à la portée de chacun, chacun avec ses richesses propres.
Sachant que le Père nous dit que le plus petit bien ou le plus petit mal que l’on fait non seulement rejaillit sur son auteur, mais aussi rejaillit quelque part dans l’humanité, nous avons tous une responsabilité dans les malheurs et les bonheurs du monde. Optons pour ces derniers !